Votre partenaire d’affaires au Québec

Vue d’ensemble

Notre guide "Faire des affaires au Québec" est un outil complet et pratique pour toute entreprise souhaitant prospérer dans un environnement d'affaires québécois compétitif et réglementé.

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En tant que cabinet régional de premier plan offrant une gamme complète de services juridiques, Lavery jouit depuis longtemps de la réputation d’aider les cabinets d’avocats canadiens et étrangers qui n’ont pas d’empreinte au Québec à répondre aux besoins de leurs clients.

Nous sommes fiers de cette réputation de travailler côte à côte avec vos équipes pour fournir à vos clients des solutions pratiques et durables sans jamais compromettre l’excellence. Transparence, intégrité, qualité, valeur et efficacité : voilà les assises de nos conseils juridiques et commerciaux.

Nous collaborons constamment avec de nombreux cabinets d’avocats basés au Canada et à l’étranger dans leurs dossiers comportant un volet québécois, que ce soit en matière de financement, de fusions et acquisitions, de litige commercial, d’actions collectives, de propriété intellectuelle, de traduction juridique, de valeurs mobilières, d’agent principal au Québec, d’immatriculation d’une entreprise au Québec, de conformité réglementaire, d’assurances ou de droit du travail et de l’emploi.

Notre centre décisionnel étant situé à Montréal, nous maîtrisons mieux que quiconque les subtilités de l’environnement juridique et commercial du Québec, tant pour les entreprises québécoises ou étrangères qui ont des activités au Québec que pour les entreprises qui cherchent à investir ou à s’établir dans la province.

Lavery en un coup d’œil

Une équipe multidisciplinaire

L’équipe de Lavery est composée de plus de 200 professionnels situés à Montréal, à Québec, à Sherbrooke et à Trois-Rivières. Outre nos avocats, nous comptons également des notaires, des agents de marques de commerce, des agents de brevets et des parajuristes. Nous avons à cœur de vous offrir une gamme complète de services juridiques au Québec en déployant notre « approche 360º », qui consiste à proposer des solutions personnalisées et novatrices dans divers domaines de pratique : droit des sociétés, travail et emploi, litige et règlement des différends, droit public et administratif, et propriété intellectuelle. Notre approche 360º et notre réputation de travailler selon les normes les plus rigoureuses de notre secteur, sans compromis, constituent véritablement une force distinctive de notre cabinet.

Un cabinet d’avocats de renom

Plusieurs de nos avocats sont reconnus comme des experts dans divers domaines du droit par des guides et publications de référence, tels que le Canadian Legal Lexpert Directory, The Best Lawyers in Canada et Chambers Canada. Dans le milieu juridique, Lavery est considéré comme « une pépinière de juges », puisqu’au cours du XXsiècle, le cabinet a recruté et formé un grand nombre d’avocats de litige qui seront subséquemment nommés à la magistrature. Parmi eux figure Richard Wagner, qui a été nommé à la Cour suprême du Canada en 2012, puis nommé juge en chef du Canada en 2017.

Un cabinet indépendant de premier plan

Lavery a été couronné Quebec Law Firm of the Year en 2020 par les Canadian Law Awards et figure constamment parmi les principaux cabinets d’avocats indépendants du Québec selon le Top 10 Quebec Regional Firms par Canadian Lawyer. Fort de ses quatre bureaux situés stratégiquement dans diverses régions du Québec, notre cabinet a une compréhension approfondie des particularités, des occasions et des enjeux locaux.

Un conseiller commercial stratégique de confiance

Plus qu’un cabinet d’avocats, nous sommes un conseiller commercial stratégique de confiance qui vous offre un soutien qui va au-delà de la simple formulation d’un avis juridique. Nous adoptons donc une approche pragmatique et pratique et collaborons avec le cabinet d’avocats et sa clientèle, en gardant toujours à l’esprit la réalité des affaires et en favorisant des conseils créatifs, pratiques et accessibles.

Une approche efficace et harmonieuse

Nous pouvons traiter des questions complexes, en fournissant des solutions adaptées et efficaces dans les délais requis. Notre but est d’aider tous les acteurs concernés à atteindre leurs objectifs respectifs de manière efficace et rentable et avec le bon niveau d’expertise. Nous veillons à ce que les services juridiques que nous fournissons soient non seulement conformes aux attentes, mais aussi qu’ils protègent les intérêts des principales parties intéressées.

  1. Annonce de tarifs douaniers américains : répercussions et stratégies commerciales pour nos entreprises québécoises

    Près de quatre ans après l’entrée en vigueur de l’Accord Canada–États-Unis–Mexique (l’« ACEUM » ou l’« Accord »), le président américain élu Donald Trump a annoncé le 25 novembre dernier qu’il entendait mettre en place des droits de douane de 25 % sur tous les produits entrant aux États-Unis en provenance du Canada et du Mexique, dès la première journée de sa présidence, soit le 20 janvier prochain. Donald Trump a indiqué que ces droits de douane demeureront en vigueur jusqu’à ce que le Canada et le Mexique renforcent leurs politiques frontalières, qu’il estime responsables de l’augmentation de l’immigration irrégulière et du trafic de drogues dévastatrices aux États-Unis. À titre de rappel, les dispositions actuelles de l’ACEUM prévoient un accès sans tarif aux marchés américains pour la plupart des produits canadiens et québécois. Ainsi, bien qu’il ne s’agisse encore que de spéculations, et bien que le principal intéressé n’ait fourni aucun détail dans son annonce quant à cet aspect, il semble exister plusieurs autorités législatives sur lesquelles sa future administration pourrait s’appuyer pour mettre en place une telle mesure. Celle-ci pourrait notamment invoquer l’exception des intérêts essentiels de sécurité prévue dans l’ACEUM, laquelle permet à une partie à l’Accord d’appliquer toute mesure jugée nécessaire afin de protéger ses intérêts de sécurité essentiels, l’exception relative à la sécurité nationale contenue dans la Trade Expansion Act of 1962, sur laquelle la première administration du président Trump s’était basée en 2018 pour instaurer des droits de douane sur les importations américaines de certains produits d’acier et d’aluminium, ou encore invoquer les dispositions de la National Emergencies Act. Cette annonce a justement provoqué une onde de choc au sein des classes politiques et des communautés d’affaires canadienne et québécoise en raison des relations commerciales étroites qu’entretiennent les États-Unis avec le Canada, y compris le Québec. En effet, au cours du premier trimestre de 2024 seulement, les exportations de marchandises du Québec vers les États-Unis se sont élevées à 21,2 milliards de dollars canadiens, représentant près de 74,6 % des exportations internationales de marchandises de la province, faisant des États-Unis le principal partenaire commercial du Québec sur la scène mondiale. Ainsi, l’imposition de droits de douane de 25 % aurait un impact considérable sur nos entreprises qui dépendent fortement du marché américain pour l’exportation de leurs produits, les rendant moins concurrentielles sur le marché américain. Une telle mesure pourrait notamment s’avérer particulièrement préjudiciable pour l’industrie forestière canadienne, alors que le bois d’œuvre est déjà frappé durement par des droits de douane de près de 15 %. L’impact de ces droits de douane protectionnistes serait également considérable sur l’économie américaine. Bien qu’à court terme, ceux-ci pourraient bénéficier à certains fabricants et producteurs domestiques, ils seraient vraisemblablement susceptibles à plus long terme de nuire à l’économie américaine dans son ensemble en raison de l’augmentation des coûts des intrants utilisés par de nombreux manufacturiers américains et de la perturbation des chaînes d’approvisionnement établies, notamment dans les industries automobile et de l’acier. Ainsi, pour maintenir leur rentabilité, plusieurs entreprises américaines pourraient être contraintes de répercuter ces coûts supplémentaires sur leurs consommateurs finaux en augmentant le prix de leurs produits, ce qui mènerait incontestablement à une autre vague inflationniste, sans compter les potentielles mesures de rétorsion que voudrait possiblement mettre en place le gouvernement canadien en réponse à ces droits de douane et qui pourraient affecter certaines sphères de l'économie américaine. Bien que des mécanismes en lien avec le règlement de différends soient prévus dans l’ACEUM, il est peu probable que ceux-ci amoindrissent à court terme les répercussions que pourraient avoir les mesures qu’envisage d’imposer l’administration Trump, une décision finale en vertu de ces mécanismes pouvant prendre beaucoup de temps. L’annonce faite le 25 novembre pourrait également servir de levier pour la nouvelle administration américaine dans le cadre des futures négociations sur le renouvellement de l’ACEUM, dont les discussions préparatoires commenceront l’année prochaine, ou encore pour entreprendre des négociations en vue de la conclusion d’un accord de libre-échange distinct entre les États-Unis et le Canada, excluant le Mexique. Les entreprises canadiennes auraient aussi intérêt à encourager les différentes associations commerciales dont elles sont membres à entreprendre des démarches de lobbying tant auprès des décideurs américains qu’auprès de leurs entreprises clientes aux États-Unis pour exposer les impacts néfastes que les droits de douane annoncés sont susceptibles d’avoir sur les entreprises américaines. Dans l’attente d’une annonce plus détaillée, notamment concernant d’éventuelles exemptions tarifaires spécifiques, les entreprises doivent prêter une attention accrue au choix de leurs futurs partenaires commerciaux. Dans un contexte économique mondial de plus en plus protectionniste, une stratégie de diversification de ses partenaires commerciaux constitue la meilleure défense d’une entreprise pour atténuer les risques liés aux politiques tarifaires d’un pays en particulier. L’Accord économique et commercial global signé par le Canada et l’Union européenne en 2017 et dans la négociation duquel notre cabinet a été impliqué, peut s’avérer une solution intéressante à cet égard. Notre équipe de professionnels en droit commercial et en fiscalité est disponible pour vous aider à naviguer les enjeux soulevés par cette annonce. Nous mettons notre expertise à votre service pour vous accompagner dans vos négociations commerciales et élaborer des stratégies visant à atténuer l’impact que l’augmentation tarifaire annoncée pourrait avoir sur votre entreprise.

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  2. Faire des affaires au Québec – Notre guide

    Notre guide « Faire des affaires au Québec » est un outil complet et pratique pour toute entreprise souhaitant prospérer dans un environnement d'affaires québécois compétitif et réglementé. Découvrez notre guide « Faire des affaires au Québec »  Télécharger Vous trouverez des informations précieuses sur : les différentes sources de financement disponibles pour soutenir vos activités; les exigences de la Loi sur la publicité légale des entreprises; les fusions et acquisitions et opérations commerciales complexes au Québec; les questions fiscales, incluant l'impôt sur le revenu, les charges patronales, les taxes à la consommation et les incitatifs fiscaux vous permettant d'optimiser votre gestion financière; la main-d'œuvre, dont une section est dédiée pour vous guider à travers les contrats d'emploi, les droits des employés, l’indemnisation des accidents du travail, les relations syndicales et les considérations d'immigration, vous assurant une gestion efficace de vos ressources humaines; la protection de la propriété intellectuelle, un aspect crucial pour sécuriser vos innovations et vos marques. les obligations liées à l'utilisation de la langue française, des nouvelles réglementations sur les marques de commerce, ainsi que des lois sur la protection du consommateur et des renseignements personnels. La brochure « Faire des affaires au Québec » est un guide pour réussir votre implantation et votre expansion au Québec. En parcourant cette ressource, vous découvrirez une présentation du système juridique québécois, vous permettant de naviguer avec confiance dans le cadre légal. Que vous soyez une entreprise étrangère ou locale, vous apprendrez comment créer une entité juridique adaptée à vos besoins, qu'il s'agisse d'une succursale, d'une filiale ou d'une société de personnes, en comprenant les avantages et les démarches associées à chaque option. Toute société étrangère qui veut faire des affaires au Québec doit pouvoir compter sur un cabinet d’avocats réputé qui peut l’aider dans son établissement et la conseiller sur tous les aspects juridiques et réglementaires au Québec et au Canada. Que ce soit en matière de droit des affaires, droit du travail et de l’emploi, droit fiscal, financement d’entreprises ou responsabilité des administrateurs et des dirigeants, l’équipe de Lavery peut vous aider à toutes les étapes de votre établissement au Québec en vous offrant des conseils qui vous permettront de bien naviguer dans l’environnement du droit québécois et canadien. Outre l’expertise juridique, Lavery possède un vaste réseau de partenaires d’affaires importants, avec qui nous pourrons vous mettre en relation pour élargir votre réseau et assurer une transition harmonieuse de vos affaires au Québec.

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