Radia Amina Djouaher Avocate

Radia Amina Djouaher Avocate

Bureau

  • Montréal

Téléphone

514 877-2919

Admission au barreau

  • Québec, 2024

Langues

  • Anglais
  • Français

Profil

Avocate

Radia Amina Djouaher s’est jointe à l’équipe Lavery à titre d’étudiante dès l’été 2021. Elle se joint à l’équipe de droit des affaires et exercera principalement en droit transactionnel et droit commercial.

Durant son stage, Amina a eu l'opportunité de participer à de nombreux mandats liés au droit des technologies. Elle a, entre autres, joué un rôle essentiel dans la vérification diligente effectuée dans le cadre de transactions complexes impliquant des entreprises technologiques opérant à l'échelle internationale. Amina a également participé activement à la rédaction de contrats impliquant un aspect technologique.

Son implication au sein du cabinet l’a amenée à contribuer à la création du livre blanc de Lavery sur les mesures à prendre avant, pendant et après un cyberincident. Elle a aussi participé à l'accompagnement de certains clients dans le renforcement de leur cyber-résilience en préparant ou en dispensant des formations en cybersécurité.

Au travers de ses études en droit à l'université McGill, elle a pu approfondir ses connaissances sur ce domaine de droit en suivant un cours sur les enjeux légaux de la cybersécurité.

Elle est impatiente de continuer à développer ses compétences en droit des affaires et de mettre à profit son intérêt et sa passion pour le droit des technologies.

Activités professionnelles et communautaires

  • Centre de Réfugiés, 2020-2021, stagiaire en droit          
  • Centre de recherche-action sur les relations raciales (CRARR), été 2020, stagiaire en droit.          
  • Réseau national d’étudiants Pro Bono section de l’université McGill, 2019-2020, bénévole
  • Clinique d’information juridique à McGill, 2018-2019, Chargée de dossiers                                           

Formation

  • B.C.L./J.D., diplôme conjoint en droit civil et en common law, Université McGill, obtenu en 2022
  1. Planifier votre parcours : naviguer à travers le paysage linguistique du Québec dans le cadre d’opérations commerciales

    La présente publication fait partie d’une série de deux articles portant sur ce que les acheteurs et les investisseurs étrangers d’entreprises commerciales doivent savoir sur la Charte de la langue française (la « Charte ») dans le cadre d’une opération commerciale impliquant des activités et des salariés au Québec. Cette première partie portera sur les questions relatives à la langue française dans le cadre du processus de contrôle diligent. La deuxième partie, à venir, se penchera quant à elle sur l’importance de la conformité linguistique au cours du processus de négociation et après la conclusion d’une opération commerciale. Bien que l’incidence de la Charte sur le fonctionnement des entreprises et les activités commerciales au Québec aient déjà fait couler beaucoup d’encre, nous nous intéresserons ici aux éléments fondamentaux de la Charte dans le cadre des opérations de fusion et acquisition. Ce texte s’adresse directement aux négociateurs étrangers, et non seulement à ceux qui exercent des activités au Québec. Lavery est bien conscient que les nouvelles exigences de la Charte peuvent sembler contraignantes et potentiellement décourager d’éventuels négociateurs étrangers. Dans cette publication en deux parties, nous vous aiderons à comprendre comment traiter les questions relatives à la langue française dans le cadre d’une opération de fusion et acquisition.  1. La première étape : la présentation d’une demande d’accès à l’information à l’Office québécois de la langue française En général, l’une des premières étapes consiste à soumettre une demande d’accès à l’information à l’Office québécois de la langue française (l’« OQLF »), qui est l’entité administrative chargée de l’élaboration et de la mise en œuvre de la politique linguistique de la province. Cette démarche permet de découvrir s’il existe des plaintes ou des réclamations non divulguées liées à des questions linguistiques qui auraient été traitées par l’OQLF. En faisant une demande d’accès à l’information à l’OQLF, une partie peut également obtenir des renseignements sur l’état d’avancement des procédures de francisation de l’entreprise visée (p. ex. si elle s’est inscrite auprès de l’OQLF, si elle a obtenu un certificat de francisation ou si elle est tenue d’adopter un programme de francisation). Les obligations prévues par la Charte peuvent être différentes selon la taille de l’effectif de l’entreprise visée au Québec. Le processus de francisation désigne les mesures qui doivent être prises par les entreprises afin de se conformer au chapitre 5 du titre II de la Charte. À compter du 1er juin 2025, l’inscription auprès de l’OQLF est obligatoire pour les entreprises qui emploient au moins 25 salariés au Québec1. À la suite de l’inscription, l’entreprise doit fournir une analyse de sa situation linguistique dans un délai de trois mois. Le programme d’analyse linguistique a pour objectif ultime d’obtenir un certificat de francisation confirmant que le français est largement utilisé dans les activités au Québec. Si l’OQLF estime que l’utilisation du français n’est pas généralisée, l’entreprise sera tenue d’élaborer et d’adopter un programme de francisation, lequel peut notamment comprendre l’obligation de traduire en français divers types de documents applicables aux salariés ou relatifs aux activités au Québec. Les entreprises comptant un petit nombre de salariés au Québec, soit moins de 25 salariés, ne sont pas tenues de s’inscrire auprès de l’OQLF ou de démontrer l’utilisation généralisée du français au Québec. Le cas échéant, les risques associés aux questions linguistiques surviennent généralement à la suite d’une plainte. En fonction de l’étendue et du seuil d’importance relative du contrôle diligent, un acheteur ou un investisseur peut décider d’accorder moins d’importance aux questions liées à la langue française au cours de l’enquête relative à l’emploi menée dans le cadre du contrôle diligent si l’entreprise compte peu de salariés au Québec. 2. Les principaux éléments à considérer en matière de conformité : les contrats de travail et la documentation relative aux ressources humaines Aux termes des exigences de la Charte, le personnel québécois a le droit de recevoir les communications écrites de son employeur en français. Ainsi, au cours du contrôle diligent, il est important d’examiner les politiques et la documentation relatives à l’emploi et de vérifier si ces documents ont été mis à la disposition des salariés en français. La langue des contrats de travail doit également faire l’objet d’une attention particulière. Aux termes des récentes modifications de la Charte et depuis le 1er juin 2022, les employeurs doivent désormais généralement fournir aux salariés une version française de leur contrat de travail avant sa signature. Les salariés peuvent accepter d’être liés par la version anglaise seulement si, après avoir pris connaissance de sa version française, ils en font expressément la demande. Si une version française n’a pas été fournie préalablement à la signature, la force exécutoire des contrats de travail pourrait être compromise (y compris toute clause restrictive incluse dans le contrat, telle que la clause de non-concurrence, de non-sollicitation ou de cession de la propriété intellectuelle). Après la clôture de l’opération commerciale, des mesures doivent être prises pour faire en sorte que tous les modèles de contrats de travail destinés aux salariés du Québec soient traduits en français. Si les circonstances de l’opération commerciale le permettent, ces mesures peuvent également être prises avant la clôture, au cours du processus de négociation. 3. Point de contrôle sur les contrats : analyser les contrats de l’entreprise visée et comprendre ses relations commerciales Pour les acheteurs ou les investisseurs étrangers, il est essentiel de tenir compte de la nature des opérations commerciales de l’entreprise visée, qu’elles aient trait à des entreprises ou à des consommateurs individuels. Si ces opérations impliquent la conclusion de contrats d’adhésion, c’est-à-dire des contrats prédéfinis par une partie et non négociables, il est essentiel de s’assurer qu’une version française de ces contrats existe. La raison est simple : depuis le 1er juin 2023, la Charte prévoit que la version française d’un contrat d’adhésion doit être remise à l’adhérent avant que les parties puissent expressément convenir d’être liées par une version rédigée dans une autre langue. Par exemple, un contrat de service normalisé dont les modalités ne peuvent être négociées serait soumis à cette exigence. Si l’entreprise visée ne se conforme pas à l’exigence susmentionnée, l’adhérent peut demander l’annulation du contrat en vertu des dispositions de la Charte. Par conséquent, les risques inhérents à la force exécutoire des contrats d’adhésion doivent être pris en compte au cours du processus de contrôle diligent. En outre, si l’enquête menée dans le cadre du contrôle diligent révèle que l’entreprise visée n’a pas préparé de version française de ses contrats d’adhésion, l’acheteur ou l’investisseur peut demander que des versions françaises soient préparées dans le cadre des documents de clôture de l’opération de fusion et acquisition. Dans le cadre du processus de contrôle diligent, un acheteur ou un investisseur étranger prudent doit également tenir compte de la langue dans laquelle les contrats immobiliers sont rédigés, ainsi que la langue dans laquelle des inscriptions ont été faites au Registre des droits personnels et réels mobiliers du Québec (le « RDPRM ») et au Registre foncier du Québec (le « Registre foncier »). Depuis le 1er juin 2022, les contrats de vente ou d’échange d’immeubles résidentiels, notamment ceux de moins de cinq logements, ou les contrats de vente ou d’échange d’une fraction d’un immeuble détenu en copropriété doivent être rédigés en français. Cette exigence est également applicable aux promesses de contracter ainsi qu’aux contrats préliminaires conclus entre l’acheteur (si l’acheteur est une personne physique) et le constructeur ou le promoteur. Bien que les parties aient la possibilité de rédiger ces documents dans une autre langue, si telle est leur volonté expresse, ces contrats doivent néanmoins être accompagnés d’une traduction française certifiée conforme s’ils sont destinés à être inscrits au Registre foncier. Cela serait notamment le cas si ces contrats avaient été initialement rédigés et signés en anglais. Depuis le 1er septembre 2022, la Charte prévoit que toutes les réquisitions d’inscription au RDPRM et au Registre foncier doivent être rédigées exclusivement en français. Les réquisitions d’inscription au RDPRM sont effectuées à l’aide d’un formulaire prescrit. Ainsi, seuls les renseignements requis par le formulaire (p. ex. la description du bien visé par une hypothèque mobilière) doivent être traduits en français. La règle s’applique différemment pour l’inscription en tant qu’acte complet au Registre foncier, auquel cas un résumé ou un extrait de l’acte doit être soumis. Dans un tel contexte, il est impératif d’analyser les contrats immobiliers de l’entreprise visée afin d’identifier les documents qui pourraient devoir être traduits. 4. Vérification de la conformité des marques Avant la publication du Règlement modifiant principalement le Règlement sur la langue du commerce et des affaires dans sa version finale le 26 juin 2024 (le « Règlement »), l’utilisation de marques non enregistrées dans une autre langue que le français soulevait de grandes préoccupations. L’exception relative aux marques « reconnues » a été réintroduite dans le Règlement; cette exception comprend les marques qui sont enregistrées auprès de l’Office de la propriété intellectuelle du Canada et les marques de common law. Pour de plus amples renseignements sur les règles relatives à la langue française applicables à l’utilisation de marques dans une autre langue que le français résultant de l’adoption du Règlement, nous vous invitons à consulter l’article suivant [inclure l’hyperlien] rédigé par nos experts en propriété intellectuelle. À cet égard, le processus de contrôle diligent concernant les marques demeure le même. L’enregistrement de marques dans un cadre transactionnel revêt toujours une importance capitale pour protéger les droits d’un propriétaire. Bien que l’exception prévue par la Charte pour les marques de common law puisse être invoquée, il est fortement recommandé de procéder à l’enregistrement desdites marques afin d’éviter tout débat sur la question de savoir si une marque se qualifie en tant que marque de common law. Après la clôture, toute marque de l’entreprise visée devrait idéalement être enregistrée. 5. Regard sur le site Web : examen de la documentation commerciale et du site Web de l’entreprise Un acheteur ou un investisseur prudent voudra demander à l’entreprise visée de fournir toutes les publications commerciales qu’elle met à la disposition du public (que ce soit sur papier ou sur support électronique). Conformément à la Charte, les catalogues, les brochures, les annuaires commerciaux, les bons de commande et tout autre document de même nature qui sont rendus disponibles au public doivent être rédigés en français. De plus, ces documents doivent être disponibles dès lors qu’une version dans une autre langue l’est. Au cours de l’enquête menée dans le cadre du contrôle diligent, il est crucial qu’un acheteur ou un investisseur examine attentivement le site Web de l’entreprise visée afin de s’assurer qu’il est conforme à la Charte. L’acheteur ou l’investisseur doit vérifier si toutes les publications commerciales et tous les documents pertinents de nature commerciale sont disponibles en français. En pratique, un acheteur ou un investisseur peut décider de traduire le site Web de l’entreprise visée dans son intégralité. Un acheteur ou un investisseur prudent analysera également attentivement la version française de la documentation commerciale de l’entreprise visée afin de s’assurer qu’elle répond aux mêmes normes d’accessibilité et de qualité que la version dans l’autre langue. Conclusion Il est essentiel pour les acheteurs et les investisseurs étrangers qui se lancent dans des opérations commerciales impliquant des activités et des salariés dans la province de Québec de comprendre la Charte et de s’y conformer en priorité. En abordant de manière proactive les éléments linguistiques à considérer énoncées dans la Charte, les négociateurs seront en mesure de faire face aux éventuels défis et de s’assurer une entrée plus harmonieuse sur le marché québécois. Qu’il s’agisse de présenter des demandes d’accès à l’information à l’OQLF ou d’examiner les contrats, y compris les contrats de travail, et la documentation commerciale, un contrôle diligent rigoureux est essentiel pour réduire les risques et démontrer un engagement en matière de conformité linguistique. Rejoignez-nous pour la deuxième partie de cet article afin d’en apprendre davantage sur les éléments à prendre en considération dans la Charte aux étapes de la clôture et de l’après-clôture.  À l’heure actuelle, l’inscription auprès de l’OQLF est obligatoire pour les entreprises qui emploient 50 salariés ou plus au Québec.

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  1. Lavery agit à titre de conseillers juridiques du Québec auprès de Newmont Corporation dans une transaction majeure de 795 millions de dollars US

    Lavery est fier de conseiller Newmont Corporation dans l’une des plus importantes transactions minières au Canada, d’un montant de 795 millions de dollars US. La réalisation de cette transaction est prévue pour le premier trimestre de 2025. Notre équipe en droit minier représente Newmont Corporation dans le cadre de la vente de la mine aurifère Éléonore, située sur le territoire d’Eeyou Istchee Baie-James, au nord du Québec, à Dhilmar, une entreprise minière privée basée au Royaume-Uni. Cette vente s'inscrit dans la stratégie de Newmont Corporation visant à recentrer son portefeuille d'actifs miniers. Dans le cadre de la transaction, notre équipe a assuré la révision et l'analyse de tous les actifs associés à la mine d’or Éléonore. Cela inclut les titres miniers tels que les baux miniers, ainsi que le transfert et l’évaluation des permis gouvernementaux et environnementaux, afin d'assurer la conformité des opérations avec les lois et règlements régissant l'exploitation minière. L’équipe de Lavery était dirigée par notre associé en Droit des affaires, Sébastien Vézina, avec le soutien de Valérie Belle-Isle, Carole Gélinas, Éric Gélinas, Jean-Paul Timothée, William Bolduc, Joseph Gualdieri, Radia Amina Djouhaer, Charlotte Dangoisse, Salim Ben Abdessalem, Annie Groleau, Joëlle Montpetit et Nadine Giguère. À propos de Newmont Corporation Newmont Corporation est la première société aurifère au monde et également un producteur de cuivre, de zinc, de plomb et d’argent. Le portefeuille d’actifs, de prospects et de talents de calibre mondial de la société est ancré dans des territoires miniers favorables en Afrique, en Australie, en Amérique latine et dans les Caraïbes, en Amérique du Nord, et en Papouasie-Nouvelle-Guinée. Newmont Corporation est le seul producteur d’aurifère inscrit dans l’indice S&P 500 et est reconnue pour ses pratiques environnementales, sociales et de gouvernance, fondées sur des principes. La société est un chef de file du secteur en termes de création de valeur, s’appuyant sur de solides normes de sécurité, une exécution supérieure et une expertise technique. Newmont Corporation a été fondée en 1921 et est inscrite en bourse depuis 1925. À propos de Lavery Lavery est la firme juridique indépendante de référence au Québec. Elle compte plus de 200 professionnels établis à Montréal, Québec, Sherbrooke et Trois-Rivières, qui œuvrent chaque jour pour offrir toute la gamme des services juridiques aux organisations qui font des affaires au Québec. Reconnus par les plus prestigieux répertoires juridiques, les professionnels de Lavery sont au cœur de ce qui bouge dans le milieu des affaires et s'impliquent activement dans leurs communautés. L'expertise du cabinet est fréquemment sollicitée par de nombreux partenaires nationaux et mondiaux pour les accompagner dans des dossiers de juridiction québécoise.

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  2. Lavery accompagne la Société du parc Jean-Drapeau dans la révision du calendrier du Grand Prix du Canada (F1)

    Lavery a eu le plaisir d’agir à titre de conseiller juridique dans le cadre de la révision stratégique du calendrier du Grand Prix du Canada, l'événement touristique le plus attendu au Canada. Ce nouveau virage, qui déplace l'événement aux deux dernières fins de semaine de mai à compter de 2026, permet de répondre à plusieurs objectifs en matière d’écoresponsabilité. Saluée par les principaux acteurs du secteur du tourisme et de l'événementiel, la révision du calendrier contribuera à réduire l'empreinte carbone en optimisant les déplacements des équipes de la Formule 1 entre l'Europe et le continent américain. Elle s'inscrit dans une démarche de responsabilité écologique et sociale, alignée avec les initiatives du Québec pour un tourisme durable. En plus de son impact positif à l'économie locale, cette initiative renforcera l'attractivité de Montréal et du Québec sur la scène touristique, en anticipant l'arrivée de la saison estivale. Notre équipe a été impliquée tout au long du processus de révision, en jouant un rôle de conseil stratégique et veillant à la conformité avec les réglementations en vigueur. L’équipe de Lavery était dirigée par notre associé en Droit des affaires et Chef de l’équipe du Droit du sport et du divertissement du cabinet, Sébastien Vézina, avec le soutien de Jean-Paul Timothée et Radia Amina Djouaher. Pour en savoir plus : Grand Prix 2026 : Les bailleurs de fond sont satisfaits de la révision du calendrier Canadian Grand Prix to support F1 calendar rationalisation with scheduling change from 2026 | Formula 1® À propos de Lavery Lavery est la firme juridique indépendante de référence au Québec. Elle compte plus de 200 professionnels établis à Montréal, Québec, Sherbrooke et Trois-Rivières, qui œuvrent chaque jour pour offrir toute la gamme des services juridiques aux organisations qui font des affaires au Québec. Reconnus par les plus prestigieux répertoires juridiques, les professionnels de Lavery sont au cœur de ce qui bouge dans le milieu des affaires et s'impliquent activement dans leurs communautés. L'expertise du cabinet est fréquemment sollicitée par de nombreux partenaires nationaux et mondiaux pour les accompagner dans des dossiers de juridiction québécoise.

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  3. Lavery et AquaAction renouvellent leur partenariat pour soutenir le secteur de l'innovation en matière d'eau

    Lavery est ravi d'annoncer le renouvellement de son partenariat avec AquaAction qui vise à soutenir et à renforcer les initiatives en matière d'innovation dans le secteur de l'eau. « Bientôt cinq années se sont déjà écoulées depuis que Lavery a décidé de se mobiliser pour appuyer la cause d'AquaAction en offrant un accompagnement juridique aux entreprises qui innovent dans le domaine de l'eau. C'est avec grand enthousiasme que nous renouvelons ce partenariat ! » souligne Isabelle Jomphe, associée et co-chef de pratique du groupe de propriété intellectuelle chez Lavery. « Chez Lavery, nous croyons fermement à l'importance de l'innovation pour relever les défis environnementaux. Ce partenariat avec AquaAction témoigne de notre engagement à soutenir les jeunes innovateurs et à promouvoir des solutions durables pour l'eau » souligne Sébastien Vézina, associé chez Lavery et secrétaire général d'AquaAction. L'engagement de Lavery se reflète notamment par notre soutien renouvelé aux programmes AquaHacking et AquaEntrepreneur pour la province de Québec. Un support qui vise à soutenir l'autonomie de jeunes innovateurs au Québec, en leur fournissant des conseils juridiques et stratégiques ainsi que de la formation pour développer et mettre en œuvre des solutions innovantes visant à relever les défis critiques liés à l'eau. « Nous sommes ravis d'annoncer le renouvellement de notre partenariat avec Lavery, où nous mettrons de l'avant leur expertise juridique pour dynamiser l'innovation dans la technologie de l'eau. Ensemble, nous nous engageons à offrir un soutien complet qui favorise la croissance, assurant ainsi le succès et l'impact des solutions révolutionnaires dans le secteur de l'eau. » selon Soula Chronopoulos , Présidente d'AquaAction. Un partenariat pour la croissance et l'innovation Ce partenariat témoigne de la force de la collaboration et d'une vision partagée. Grâce à l'expertise et aux ressources de Lavery, AquaAction est en mesure d'avoir un impact encore plus grand, en autonomisant les entrepreneurs, en favorisant l'innovation et en propulsant des solutions durables en matière d'eau. Nous sommes enthousiastes quant aux possibilités offertes par ce partenariat et nous nous réjouissons des changements positifs qu'il créera dans notre communauté. À propos d'AquaActionAquaAction est un organisme de bienfaisance enregistré, au Canada et aux États-Unis, créés en 2016. Il a été établi pour habiliter les jeunes innovateurs à restaurer et protéger la santé de l'eau douce. AquaAction a développé deux programmes axés sur l'innovation et la technologie de l'eau pour y arriver : le Défi AquaHacking, un préincubateur à start-up et AquaEntrepreneur, un programme jumelant des startups de l'économie bleue avec des industries ou des municipalités pour accélérer leur commercialisation. Pour plus d'informations, visitez aquaaction.org. À propos de LaveryLavery est la firme juridique indépendante de référence au Québec. Elle compte plus de 200 professionnels établis à Montréal, Québec, Sherbrooke et Trois-Rivières, qui œuvrent chaque jour pour offrir toute la gamme des services juridiques aux organisations qui font des affaires au Québec. Reconnus par les plus prestigieux répertoires juridiques, les professionnels de Lavery sont au cœur de ce qui bouge dans le milieu des affaires et s'impliquent activement dans leurs communautés. L'expertise du cabinet est fréquemment sollicitée par de nombreux partenaires nationaux et mondiaux pour les accompagner dans des dossiers de juridiction québécoise.

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  4. Lavery embauche sept nouveaux juristes

    Lavery est heureux d'annoncer que sept juristes récemment assermentés se joignent au cabinet après y avoir complété leurs stages. Notre bureau de Québec : Sophie Blanchet Sophie intègre le groupe Litige et règlement des différends. Elle pratique principalement en responsabilité civile et professionnelle, en assurance vie et invalidité ainsi qu'en litige commercial. « Ce qui m'a charmée chez Lavery, c'est l'équipe. Une équipe d'avocats d'expérience, aux expertises diversifiées et stimulantes qui croient en la relève. Rapidement, je me suis sentie chez moi. On m'a impliquée dans divers dossiers, a apprécié mon opinion, pris le temps de m'enseigner et, surtout, encouragée. Je suis très heureuse et fière de me joindre à l'équipe Lavery et d'avoir l'opportunité d'y poursuivre mon développement professionnel auprès de professionnels rigoureux et passionnés. » Philippe Lavoie-Paradis Philippe intègre notre groupe Litige et règlement des différends. Il est diplômé de la Faculté de droit de l'Université Laval et détient un certificat en communication publique. « Lavery est un cabinet centenaire doté d'une vision moderne et novatrice. Je suis fier de contribuer à cette équipe dynamique qui met de l'avant une longue tradition d'excellence pour mieux bâtir l'avenir de demain. » Juliette St-Pierre Juliette St-Pierre est membre du groupe Litige et règlement des différends et œuvre principalement en litige commercial et en droit des assurances. « Ayant été accueillie chez Lavery en 2022, j'ai rapidement senti que la collaboration prédominait et que ma participation dans les dossiers était valorisée. Il était donc naturel pour moi de me joindre à cette équipe afin d'y débuter ma carrière, me permettant ainsi d'évoluer en tant que juriste auprès de professionnels polyvalents qui prônent l'excellence et le dépassement de soi. » Notre bureau de Montréal : Julie Aubin-Perron Julie est membre du groupe Droit des affaires et exerce principalement en droit transactionnel et en droit commercial. « Choisir Lavery signifie choisir un environnement de travail stimulant et favorisant le développement et l'initiative. C'est une occasion privilégiée pour moi d'entamer ma carrière auprès de professionnels inspirants et de faire partie de cette équipe humaine et axée sur la collaboration. » Laurence Bernard Laurence est membre de notre groupe Litige et règlement de différends. Sa pratique porte principalement sur le litige en matière d'assurances, responsabilité du fabricant et du vendeur et responsabilité civile. « Dès mes débuts en tant qu'étudiante, mon équipe m'a accueillie comme une des leurs, ils m'ont impliqué dans plusieurs dossiers et m'ont donné beaucoup d'autonomie. Arrivée à mon stage, c'était sécurisant et surtout excitant de les retrouver pour continuer cette belle collaboration. Sur le plan humain et professionnel, j'ai vraiment le sentiment de faire partie d'une équipe qui a à cœur mon bien-être et mon développement, c'est entre autres ceci, et le fait de travailler avec des avocats et avocates qui m'inspirent qui me poussent à vouloir être la meilleure version de moi-même. » Radia Amina Djouaher Radia Amina se joint à l'équipe de Droit des affaires et exercera principalement en droit transactionnel et droit commercial. Durant son stage, Amina a eu l'opportunité de participer à de nombreux mandats liés au droit des technologies. Elle a, entre autres, joué un rôle essentiel dans la vérification diligente effectuée dans le cadre de transactions complexes impliquant des entreprises technologiques opérant à l'échelle internationale. « Je suis ravie de me joindre aux rangs de la grande famille Lavery. Au-delà de l'expertise et de l'excellence du cabinet, ce sont les relations que j'ai tissées lors de mon stage et de mes étés en tant qu'étudiante qui m'ont convaincue que Lavery était l'endroit idéal pour moi. La générosité de tous les membres du cabinet, leur bonne humeur ainsi que leur dévouement envers l'entraide et l'épanouissement des jeunes sont des qualités qui distinguent Lavery et qui m'ont permis d'accepter sans hésitation de me joindre à l'équipe! » Notre bureau de Sherbrooke : Anaïs Martini Anaïs se joint à l'équipe de droit des affaires et détient un baccalauréat en droit civil et Juris Doctor de l'Université McGill, qui lui permis de participer à des activités cliniques et à un concours de politique en droit d'auteur au cours de ses études.

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